« Malavita » Mia !

malavita

Malavita, nouveau film de Luc Besson, nous présente la petite famille d’un mafioso dont le portrait robot se trouverait à mi-chemin entre le Don Corleone de Coppola (The Godfather) et le Toni Soprano de la série éponyme (Soprano), avec peut-être pour ritournelle de fond « Le repenti » de Renan Luce, ce qui donne un film assez inutile, où ça castagne sévère pour une balance barbu qui coule des jours heureux (mais mouvementés) de Trifouillis-les-Oies en Trifouillis-les-Oies (de planques en planques), et dont on retiendra sans doute peu, si ce n’est le mensonge délirant de cet impétueux faux Corleone grisonnant interprété par De Niro – lorsqu’il décide subitement de prendre pour couverture un métier pour le moins fantasque: « écrivain de romans historiques ».

Pas vraiment de quoi en faire une histoire.

M. PARLONS

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